on construit une semaine de huit jours (m.palmer) et on lui dit Commence, dans le pavillon de l’oreille de quelqu’un qu’on connaît ↓presque↓ elle ouvre son ↑livre↑ c’est un début ———————————————
je me surprends dans mon bas-ventre je gagne en hauteur de corps, je dis mon nom pense-corps. c’est agissant je le prête à tout, même de pénétrer la plus infime sensation. il me découvre je me lui en veux pas, il aime son monde parfois tout le temps, il est envahissant ce n’est pas toujours facile quand je suis seul il me comprend, et il me prête la main ( bien sûr, il préfère que je sois deux, je le sais )
ce n’est pas simple, je suis deux déjà au moins je le sens plus exigeant, à sa manière d’être là il se voit dans quelqu’un de très absent physi quement et il insiste. que faire de plus sinon le satisfaire. c’est là que je me complique ——
parce qu’il parle fort et c’est bas et quand je veux le faire venir, le voilà échappé de la main, je me retrouve deux, pas les mêmes si l’un est là l’autre aussi sont d’accord pour rester deux, voilà un bout manque il est où je sais repos mais quand même
au milieu j’étais là dans les deux (a. calléja) c’est un endroit où aller ensemble, en bas sinon tout seul c’est pas qu’il soit pas content je le sens bien, sentons moins les choses et faut toujours garder le bout s’en mêle, alors —
la langue elle dit rien, mais elle le fait (a. c) langu’ oust ! dire on le dire jamais assez, aller la chercher dans la cuisse faut une fourchette fine et mmm avec une bonne sauce ———– quoiLangue enfin qu’un bourgogne avec LANGUER claque assez aussi lèche en bon hhhhhhhhhhhh c’est bon nous deux et salives ( les entendre penser (fort) sales yves, laisser )
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