20 mars 2012

pense-corps exigeant complique ensemble




on construit une semaine de huit jours (m.palmer) et on lui dit Commence, dans le pavillon de l’oreille de quelqu’un qu’on connaît presque elle ouvre son livre       c’est un début ———————————————


je me surprends dans mon bas-ventre             je gagne en hauteur de corps, je dis          mon nom pense-corps. c’est agissant             je le prête à tout, même de pénétrer la      plus infime sensation. il me découvre               je me lui en veux pas, il aime son monde parfois tout le temps, il est envahissant         ce n’est pas toujours facile quand je suis seul  il me comprend, et il me prête la main             ( bien sûr, il préfère que je sois deux, je le sais )


ce n’est pas simple, je suis deux déjà au moins je le sens plus exigeant, à sa manière d’être là il se voit dans quelqu’un de très absent physi quement et il insiste. que faire de plus   sinon le satisfaire. c’est là que je me complique ——


parce qu’il parle fort et c’est bas et quand je veux le faire venir, le voilà échappé de la main, je me retrouve deux, pas les mêmes      si l’un est là l’autre aussi sont d’accord      pour rester deux, voilà un bout manque           il est où je sais   repos   mais quand même


au milieu j’étais là dans les deux (a. calléja) c’est un endroit où aller ensemble, en bas sinon tout seul c’est pas qu’il soit pas content je le sens bien, sentons moins les choses et faut toujours garder le bout s’en mêle, alors —


la langue elle dit rien, mais elle le fait  (a. c) langu’ oust ! dire on le dire jamais assez, aller la chercher dans la cuisse faut une fourchette fine et  mmm  avec une bonne sauce ———– quoiLangue enfin qu’un bourgogne avec LANGUER claque assez aussi lèche en bon hhhhhhhhhhhh c’est bon nous deux et salives ( les entendre penser (fort)  sales yves,  laisser )



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